le guide de l'hébergement :
le Miam Miam Dodo de la Via Tolosana

 

Edition 2012-2013 :

On connait le succès de cette série pour la voie du puy , le camino francès, le camino aragonais.

Vient de sortir le MIAM MIAM DODO du Chemin de Saint Jacques de Compostelle par la voie d'ARLES.

Livre important spécialisé dans les hébergements de la VIA TOLOSANA, il vous mentionne tous les hébergements situés  dans un rayon très proche, et tout au long du chemin.

Il devient un complément de 1er choix à vos topos-guides habituels et vous permettra de choisir votre hébergement, voire modifier vos étapes , en fonction de votre budget.

Gérer son budget, c'est le souci quotidien du pèlerin et du cheminant.

Par ses précisions, cet ouvrage vous donne tous les atous nécessaires. A vous de décider ensuite.

 

ci-dessous une présentation du topo extraite du site de l'editeur

 

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Table des Matières

Quelques pages d'introduction

Exemple d'une page du guide

256 pages

241 g

19 euros en librairie  

23 euros franco de port  

Mis à jour chaque année

 

 

 Table des Matières
 

Résumé

Préface

Conseils pour préparer son voyage

Le Chemin de Compostelle, simple GR ? // Quoi emporter //Les godasses et le parapluie // La propreté // L'eau potable //La courtoisie // Médor // Les distances // Quel jour partir// Prendre la route ou le chemin // Transfert des bagages ou des pèlerins // Budget // Le carnet du pèlerin ou credencial // Prix spécial pour pèlerins //Les pèlerins pauvres // L'époque

Les différents hébergements :
Monastère, presbytère, accueil à caractère religieux // Gîte d'étape ou gîte équestre // Hôtel // Chambre d'hôtes // Chambre chez l'habitant // Chambre partagée // Camping // Bivouac

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Taxe de séjour - Assurance

Ravitaillement

Conseils aux cyclistes

Conseils aux cavaliers

Conseils aux randonneurs accompagnés d'un âne

Liste du matériel de randonnée

Le camino aragonés

La réservation

La voiture d'accompagnement

Charte d'accueil et d'hébergement

 

 Quelques pages ...
 

Résumé de l'ouvrage

Voici le document qu'utilisent désormais tous les marcheurs vers Compostelle.

Venant en complément des topo-guides existants, qui assurent avec brio la partie historique et géographique du chemin de Saint-Jacques, le "miam-miam-dodo" apporte les précisions essentielles au randonneur : où dormir, où manger, et à quel prix ?
Dans un fuseau de 5 kilomètres de part et d'autre du GR 653, entre Arles et le col du Somport, tout a été répertorié : accueils

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religieux, hôtels, gîtes d'étape, chambres d'hôtes, campings, cafés, restaurants, postes, boulangeries, épiceries, charcuteries, pharmacies, banques, etc... Prix et conditions sont précisés, afin que le pèlerin sache exactement où il pose son sac, et qu'il ait le choix de ses hébergements, en fonction de ses convictions, de ses goûts et de l'épaisseur de sa bourse.

Dans un même esprit, un petit symbole permet au cavalier et au conducteur d'âne de préparer leur pèlerinage en fonction des nécessités de leur animal.

Ami pèlerin, bon voyage !

 

Budget

Le budget nécessaire pour aller à Compostelle n'est pas élevé. Marchant à pied ou roulant à bicyclette, vous n'avez ni électricité, ni téléphone, ni gaz, ni chauffage à payer.

Restent deux choses essentielles : la nourriture et l'hébergement.Si vous fréquentez les gîtes et popotez vous-mêmes, sachez que 10 euros seront largement suffisants pour assurer la nourriture de la journée. Il est même probable qu'il vous restera un peu d'argent pour aller de temps à autre grignoter dans un petit restaurant.

 

Le prix d'un gîte se situant autour de 13 euros, il vous faut ajouter cette somme pour profiter d'une douche chaude et dormir à l'abri d'un toit.

Attention : il y a moins d'hébergements bon marché sur la Voie d'Arles que sur la Voie du Puy, surtout dans la première partie, avant Saint-Guilhem le Désert. Prévoyez le budget suffisant pour payer la chambre d'hôtes ou l'hôtel.

N'oubliez pas également de compter le billet de retour en train, autobus ou avion.

 

Les pèlerins pauvres

Certains pèlerins, ou se prétendant tels, souhaitent réaliser leur voyage comme au Moyen-âge, c'est-à-dire sans argent.

Il convient de mettre en garde ceux qui pratiquent ainsi. D'une part nous ne sommes plus au Moyen-âge, et encore beaucoup de pèlerins de cette époque avaient-ils un petit pécule à dépenser. D'autre part ce n'est pas avec des prières que vos hôtes paieront l'électricité de leur gîte ou l'école de leurs enfants. 

 

Si vous souhaitez vraiment imiter certains de vos aînés, alors dormez dehors et grignotez des miettes. On ne peut pas à la fois vouloir imiter les anciens, et en même temps profiter des bienfaits de notre siècle, sinon à jouer d'hypocrisie et à mettre mal à l'aise les riverains et les accueillants, qui ont beaucoup investi sur ce chemin pour en assurer la pérennité.

Si vous avez la chance d'avoir un revenu et quelques économies, alors laissez la pauvreté aux gens réellement pauvres, et qui souhaiteraient bien souvent disposer d'assez d'argent pour régler leur dû et vivre dans la dignité.

 

 Exemple d'une page du miam-miam-dodo

 

 

Sur la page du haut, le schéma sommaire de l'itinéraire, et des symboles graphiques pour chacun des points d'hébergement et de restauration, plus les services nécessaires au marcheur : poste, banque, pharmacie, les distances entre étapes, etc...

 

Sur la page du bas, le détail : comment se rendre au gîte, le prix de la chambre d'hôtes, les jours de fermeture de la boulangerie, l'accueil des chevaux et des ânes, les langues parlées, etc...

 

 

Conclusion : d'un seul coup d'oeil, sur une portion donnée de l'itinéraire, on sait exactement où on peut aller dormir, à quel prix, et ce qu'on va pouvoir grignoter... Foi de marcheur, ça c'est du topo-guide mes enfants...
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